Cabinet de
psychothérapie
analytique
Cela fait près de 15 ans que j'ai plongé dans la passionnante aventure de l'humain, de l'inconscient, du corps et des émotions.
Pendant ces années, j'ai pu faire un travail en profondeur sur moi et ainsi être à même de pouvoir m'ouvrir aux autres et en faire mon métier :
aider, écouter, soutenir ceux qui vivent une situation psychique difficile.
Mon cabinet est ouvert à toute personne adulte, homme ou femme, en souffrance psychique.. Néanmoins, en tant qu'homme et de par mon histoire, mes lectures ou mes rencontres, je suis aujourd'hui particulièrement sensible aux problématiques masculines
notamment celles liés à la sexualité, à toutes les sexualités.
Domaine particulièrement sensible et complexe, la sexualité un révélateur de l'intime. J'accueille donc
des personnes souffrant de difficultés liées du désir, de l'accès au plaisir et/ou à la jouissance, des personnes souffrant de phénomènes d'addiction ou d'obsession, de personnes en questionnement sur leur orientation,
de personnes subissant ou provoquant des phénomènes de violence, de personnes ayant des fantasmes ou des pratiques hors normes et peut-être honteuses, rendant impossibles la réalisation d'une sexualité épanouie.
Mon engagement en tant que thérapeute est structuré autour de trois convictions :
Tout d'abord, je suis convaincu qu'il y a du bon dans chacun, que personne ne naît ou n'est définitivement mauvais,
triste, fou, déprimé, pervers, foutu ou nul. Non! Ce sont nos expériences de vie qui nous façonnent, nous transforment et qui font la personne que nous sommes aujourd'hui. Et ce, d'autant plus fortement lorsque les traumas sont nés durant l'enfance.
En APO, nous utilisons le concept de "noyau sain": ce concept, profondément humaniste, restaure toute l'humanité de la personne, même lorsqu'elle est ensevellie et parfois invisible.
Oui, nous sommes dignes d'être aimé.e.s et même d'abord par nous-même.
Ensuite, je pense que si nous sommes tous issus d'une histoire, nous ne sommes pas cette histoire. Ainsi exposé, l'enjeu est surtout de comprendre cette histoire,
de la regarder, de l'accepter pour pouvoir se détacher de l'origine de la souffrance (voire du mortifère).
Enfin, je crois en la puissance du langage du corps, des sensations et des émotions. Et c'est cela qui m'a fait choisir l'Analyse Psycho-organique.
Je pense en effet que les maux du corps sont les mots du corps : c'est-à-dire que tel symptôme, telle pathologie, ou même telle douleur ou gêne, (ou autre symptome organique) parle de la personne et vient dire quelquechose.
S'il n'est pas question de prétendre pouvoir guérir quiconque en remplacement d'un médecin, le corps est une voie d'accès à notre histoire, il enregistre, au même titre que notre psychisme, nos évènements de vie.
Il est donc un formidable terrain d'échange et de compréhension de soi. La psychosomatique ne dit pas le contraire (même si, à mon sens, elle a tendance à trop limiter son champs d'analyse).
En APO, on dit d'ailleurs que tout ce qui ne s'exprime pas, s'imprime.